Lors du Ardèche Aluna Festival, on a eu la chance de rencontrer Barry Moore, notre coup de coeur du festival. On l’entend déjà en boucle à la radio avec son titre « Hey Now ». Rencontre avec un artiste super sympa !
Tu parles très bien français, comment as-tu appris à le parler ?
En arrivant en France il y a 5 ans, à force d’être dans la culture française, j’ai appris petit à petit.
Je suis un irlandais né à Londres car mes parents étaient de passage, après j’ai vécu à Neufchatel, puis je suis parti aux USA à 10 ans, après je suis allé à Barcelone, à Londres.
Je suis très curieux comme personne, j’aime beaucoup bouger, découvrir de nouvelles choses, c’est stimulant pour créer.
Comment as-tu trouvé le public d’Aluna ?
Très chaleureux, on est très bien accueillis ici. C’est un plaisir de faire un concert comme ça, malgré la chaleur !
Et les organisateurs sont super sympas, on ne manque de rien !
Un début de carrière en France ?
On commence en France, oui, j’espère que ça va devenir international. J’ai une maison de disque française.
Comment as-tu rencontré ton producteur, Maxim Nucci (Yodelice) ?
Il y a 3 ans, je l’ai rencontré dans son studio qui est un endroit de rencontres artistiques.
J’étais en train de jouer des chansons, et Max est rentré dans la pièce et ça lui a plu, puis on a signé dans la semaine.
Tu as commencé la scène en faisant les premières parties de Jain ?
J’ai eu la chance de rencontrer Jain au moment où elle explosait en popularité, et vu qu’on avait le même tourneur, j’ai pu me former à la scène, de faire un sorte de baptême de feu, car le premier concert que j’ai fait, c’était à Amneville, 6000 personnes !
D’autres passages dans les médias prévus après Taratata ?
C’est possible.. mais je vais rien révéler, peut être un ou deux petits trucs cet été… ça sera annoncé sur les réseaux sociaux !
Quels sont tes projets ?
On a déjà sorti un EP de 4 titres « Lost Boys » , il y a deux mois.
En ce moment on fait les festivals d’été.
Puis on termine l’album qui devrait sortir en octobre 2019.
Une réflexion sur “Barry Moore : L’interview à Aluna”