Only Real : L’interview au festival TINALS

Retour sur la rencontre avec Only Real lors du festival This Is Not A Love Song.

 Tu as signé chez le label « Virgin Music » qu’est-ce qui a changé pour toi ? 

Les capacités financières du label m’ont permis de faire ce que je voulais, une partie de l’album a été enregistré à Londres et l’autre à Atlanta, une certaine liberté artistique.

J’ai fait ce que j’avais envie de faire, je n’ai pas pensé à la façon dont l’album allait être accueilli. J’ai écrit la musique que je voulais faire.

only real nimes

 L’aspect visuel : les clips

Ca a commencé de manière simple, je faisais les clips moi-même. J’ai contacté un réalisateur que j’adorais pour faire les nouveaux clips.

 

 Le public français

C’est comme une seconde maison la France. Au départ, je pensais avoir plus de succès en Angleterre car c’est mon pays. Très vite les choses ont progressé en France, le fait de jouer dans des grandes salles et l’accueil très chaleureux du public.

only real

 Les influences

Je n’ai pas vraiment de noms à donner. Je m’attache plutôt aux sons que je veux faire sortir, des types de sons.

Sur l’intro de mon dernier album, c’est mon producteur à Atlanta qui m’a aidé en m’apportant une influence hip hop, comme Puff Daddy, dans les années 90, l’âge d’or du hip hop.

 Cadillac Girl :  le clip, roadtrip californien

Quand j’ai écrit la chanson, j’avais envie de cette ambiance West Coast.On a écrit cette chanson avec une énergie américaine, ensoleillée, donc on voulait que le clip donne ça. On est allé en Espagne pour tourner le clip en filmant sous des angles différents pour donner l’impression que c’était en Californie, on a recrée la Californie.

 

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